L'histoire de la technologie BIOZONE
La technologie BioZone est le résultat de recherches et développements réalisés par les ingénieurs de la NASA au milieu des années 80 dans le cadre des programmes spatiaux Columbia. Ces recherches ont été initiées pour disposer d’une solution sûre et efficace pour purifier et décontaminer l’air et les surfaces des navettes spatiales afin qu’aucun membre de l’équipage ne tombe malade une fois en orbite.
Cette technologie de pointe brevetée basée principalement sur la production et la diffusion de plasma froid d’oxygène est encore présente aujourd’hui dans les navettes spatiales ainsi que dans la Station Spatiale Internationale. Elle est à ce jour la seule technologie capable d’agir à la fois dans l’air et sur les surfaces sans produits chimiques ce qui la rend unique en son genre et qui lui confère de multiples applications. Elle a d’ailleurs fait l’objet d’adaptations dans le domaine militaire américain avant d’être mise à la portée du grand public par le biais de la société BioZone Scientific International.

La technologie BIOZONE : 3 mécanismes différents et indépendants de purification réunis en une seule technologie brevetée et approuvée.
Contrairement à de nombreux autres systèmes de purification présents sur le marché, la technologie BioZone ne se résume pas à l’utilisation isolée des lampes UV, des ions négatifs ou de l’ozone, c’est la combinaison mesurée de ces « actifs » qui en fait la meilleure technologie qui soit pour la décontamination de l’air et des surfaces et la seule capable d’agir en présence humaine sans produits chimiques.Tous les appareils BioZone (hors Coil Care ASD) mettent en œuvre la même triple technologie combinant ainsi la photo-catalyse, le caractère germicide bien connu de la lumière UV et la génération d’un plasma froid d’oxygène.

Le plasma froid est le quatrième état de la matière, après l’état solide, liquide et gazeux. Pour en obtenir, il faut appliquer un champ électrique à un gaz, par exemple l’air ambiant. Les atomes qui composent le gaz vont alors perdre des électrons, ce qui leur confèrera une charge électrique. On dit qu’ils sont ionisés. Lorsque les atomes sont tous ionisés, on parle de plasma chaud. A l’inverse, une ionisation incomplète donne du plasma froid. En cherchant à se débarrasser de leur surplus d’énergie, les ions vont entrer au contact des molécules organiques des virus, comme les lipides, protéines ou ARN (matériel génétique proche de l’ADN). Au contact de ces ions, les virus sont détruits, inactivés, ils ne pourront plus être infectieux et ce, aussi bien dans l’air que sur les surfaces. Un plasma est un gaz excité. Cela signifie qu’il est instable et qu’il va donc naturellement chercher à se stabiliser rapidement. C’est précisément dans ce processus naturel de retour à un état physique stable qu’il va oxyder les polluants organiques (parois des virus, bactéries) ou casser les liaisons carbonées (polluants chimiques, COV, odeurs).